Une jeunesse normale .

Raymone est né humain dans une campagne assez reculé, où ses
parents et sa sœur vivaient une vie confortable en administrant un petit compté.
Sa jeunesse fut celle de tous les jeunes des campagnes dans les familles aisées :
Il passait la plupart de son temps a flâner dans les rues, plutôt attiré par l’aventure
que part les études. Il reçut donc un enseignement sur des notions de géographies, de lecture et
d’écriture. Mais dans les alentours de son village, la vie était monotone et
rythmée par la moisson des paysans.


Pendant son adolescence, son père rentra un soir, assez
changé et fatigué. Au cours des semaines, toute sa famille semblait ralentir.
Un soir, juste après le repas familial en silence, il alla dormir de bonne
heure, comme tous les adolescents. Il entendit le parquet craquer à l’orée de
sa porte, qui s’ouvrit doucement. Les pas se rapprochaient lentement. La masse
s’arrêta tout prêt de son lit et en un instant, il sentit une douleur très vive
dans son cou, comme si on lui tranchait la gorge . La douleur fut si forte, qu’il
s’endormit presque instantanément après la morsure. Le lendemain, lorsqu’il questionna
ses parents, ils n’eu aucune réponse de leurs parts, comme si rien ne s’était
passé.


Des changements s’opéraient autour du village, de moins en
moins de personnes s’approchaient du manoir familial et l’école refusait de lui
enseigner un savoir. Jusqu’à sa majorité, sa famille devint de plus en plus
marginale, vivant en ostracisme presque complet.


C’est les cris dans la nuit qui le réveillèrent, peu avant
sa majorité, et peu après, le bruit des vitres qui volaient en éclat le
tirèrent du lit. Son instinct de survie lui permit de s’orienter dans la nuit
et sa vision nyctalope lui sauva la vie lors de sa fuite .


Il apprit le destin de sa famille le lendemain, lorsqu’il
vit des lycans venir récupérer les pierres de son ancienne habitation en ruine.
Sa haine raciale enfla en lui en quelques secondes, c’était la première fois qu’il
ressentait autant de colère envers autrui.


Il prit la marche vers nulle part, avançant sur des chemins
au hasard dans la campagne, et sa vie changea lorsqu’il croisa un panneau sur
un chemin .. « Meridian ; 428 lieues ».


Pendant son voyage, il prit le temps de recevoir l’éducation
et le savoir qu’il n’avait pas reçu en consultant des personnages illustres dans
leurs domaines.


La réponse à toutes ses questions, concernant sa peau plutôt
pale et le massacre de sa famille vint un jour comme un autre, quand son voyage
touchait presque à sa fin.


-
« Bonjour Vampire » dit-elle
naturellement.


Un vampire ? Et pourtant, il n’était pas de ses
monstres sanguinaires et ses canines n’étaient pas aiguisées. Il avait parlé
trop tôt et les attributs empiriques vinrent, comme s’il vécut une seconde
adolescence.





A son arrivée à Meridian, son chemin croisa celui d’un
groupe de pirate, vivants à côté d’une grande cité sombre. Il s’y arrêta et
passa quelques mois parmi ces « sauvages » civilisés. Il y eu
beaucoup d’accrocs pendant ces mois de vie, encore une vie marginale.


Il passa une des plus mauvaise période de sa vie, entre le
camp des pirates et sa maison de Meridian. En quelque tours de magie, un femme
s’enfanta de lui pour avoir un garçon et de son amiral, devenu un ennemi, pour
avoir une fille.


Il partit donc en voyage pendant plusieurs mois, visitant
les contrées les plus reculées pour affiner ses connaissances qu’il avait accumulé
pendant son voyage jusqu’à Meridian.


Il revint de son voyage et une nouvelle vie pouvait commencer
à l’abris de ses démons du passé.

J adore l histoire, mais!!!

Ca fait le deuxieme BG ou l on parle de bri comme une femme venale et maintenant manipulatrice !!!

NA ME OH!!! Attends que j ecrive la suite du miens et tous verront que j ai ete manipulée!!!

MMmoouuuaaahhhhh!


Toussote, range son morceau de charbon et son papier a lettre dans le tiroir, et retourne se coucher

Bri

/me avait soudain un tas de choses à écrire à propos de Bridget dont voici le contenu, restranscrit directement :


qpejghohemoghmoiecgfnifia"h rgiharuighai"ehg hygfzefh hgfihei rghifhg hie iehrgiheirgh hih ggihreghigh ihi hi ehgiheirgh eiihg ie !!

fkl hig!!


oui je sais, ma pensé est un peu brouillon quand elle est retranscrite pèle-mèle ...