A la rencontre d'un nom

Kharane " en route vers l'inconnue renommée"

Ayant tant entendue se nom,
je me suis résigner a chercher et rencontrer cette personne.
D'après de multiple récit je savais qu'elle vivait dans la contré lointaine de Nosgoth.

Après quelques jours de bateau je suis arrivée au port de nosgoth.
De la je devais emprunté un chemin qui d'après mes sources me conduirais jusqu'à la forteresse.

Je prie le chemine de Nogaku, les rues était étrangement vide. Bien qu'il commençait a faire sombre je n'étaie pas gêner et je continuai à m'enfoncer dans la nuit. sur la route je croisa un beau ravin qui celui si me mena directement dans l'eau. un peu échaudé je parvis à m'extraire de cette froideur et pris quelques instant pour me sécher le poil.

Remise de mes émotions je me rendis compte que je n'étais plus sur le bon chemin, de grand mur m'entourais mais en levant les yeux, j'aperçus une ombre dans le ciel. Elle était là, la forteresse imprenable dont on m'a fait tant de récit.

Durant quelques heures je tournais en rond pour trouver un moyen d'accéder à la forteresse mais en vain. je n'avais pas manger depuis un moment et comme par miracle un beau volatile m' attentais sagement accrocher a son perchoir. Je salivais d'avance à l'idée de sentir de la bonne faire se déchiqueter sous mes crocs mais un vents brisa ma faim et mon esprit se retourna d'un coup.

Pourquoi serait-il attacher se volatile et surtout a cette hauteur à la vu de tous.
je me méfiai de plus en plus et me tapie doucement sur le sol, plus un bruit.
Je humais l'air pour sentir quelques présences mais rien.
Je réfléchissais, est ce un piège, bizarre je n'ai vu personne depuis mon arriver.

c'est alors que je levas les yeux aux ciel et me rendis compte de l'erreur que j'allai commettre.
Je me mis un coup de patte sur la tête et décrocha le lien du volatile.
Il est bien docile cette oiseau, j'en ferais mon repas quand j'aurais fini mon aventure.

Voyant la scelle sur le dos du volatile j'en déduisis qu'il faille que je le chevauche.
-_- du jamais vu dans ma vie de félin mais bon...
l'oiseau m'emporta dans les air la brise du vole eu fini de sécher mon pelage mais le frisson de la nuit me fit dresser ceux-ci.

je fus déposer devant la porte d'entrée. Quel grandeur!!!!
La porte d'entrée n'était pas verrouiller surement parce que personne n'aurai penser qu'un piaf volerais jusque là. hum... moi non plus.

je passais porte après porte sans trouver âme qui vive ou signe d'existence dans ces lieux si vide. l'odeur du renfermer m'entourais je ne pouvais plus sentir autre choses s'il y avait eu quelqu'un je n'aurai pas sentie sa présence.

on dirais bien une tour, un escalier en colimaçon "mium" sa sent la marche...encore...

Je me suis arrêter a la première monter qui m'offrais une porte. celle-ci donnais sur l'extérieur je pu contempler, émerveiller de la grandeur de cette demeure.

En regardant la tour la plus haute je me dis qu'il doit y avoir quelques choses de beau à y voir. comme dans toutes histoires avec des châteaux. je visiterais les partis commune plu tard.

Mon esprit n'eut pas longtemps à faire des bons, des sauts et des tours. un chemin se traça devant mes yeux. le plus court chemin pour arriver dans les auteurs était par les toits.

Je bondis dans la haute coure en contrebas et me dirigeai vers le premier toit. celui si fut vite grimpé des bordures me permettais de me rattraper et de me soulager les griffes. arrivé en haut je vis que la distance entre la grande tour et moi était un poil trop grande mais se n'est pas grave encore un effort et j'y serrais je n'aurais pas a faire tout le tour si j'atteins se balcon.

Je pris mon élan et sauta dans ma plus grande détente. hum... trop facile.

a coté de moi se tenais une porte, pas verrouiller tant mieux et là quel surprise, une chambre.

Faillais que je tombe sur sa en premier, heureusement personne n'est présent, voyons plutôt se qui se cache tout en haut.


Les étages défilaient comme à n'en plus avoir de fin puis un arbre. que fais un arbre dans une tour. belle arbre brillant comme un cristal chantant aux yeux une douce mélodie apaisante. je me sentais bien, bercer par la lumière mais je me repris ainsi que ma course au sommet.

Je continuai m'a lancer puis ouuuuch......
assommer, je dévalais l'escalier dans le sens de la décente pour me retrouver de nouveau avec l'arbre.

Mon esprit vaporeux hypnotiser par la lumière je tentais de rester éveiller mais dans un pas maladroit je glissais encore dans les escaliers proches et dévala toutes la tour.

Même forte de mon passé je ne pu que succombé au mal et m'évanouis. par chance je senti avant que mes yeux se fermes qu'un coussin avait amorti mon choque avec le mur. heureusement même une pierre n'aurais pas résister au choque. Et mon esprit devin noir...

Mershi bonté, je donnerais la suite à mesure de nos rencontre