Dans la tête du Djinn

Seiky le lupin aveugle, sous sa forme de loup garou est perché sur le toit de l'hotel de ville, une nuit. Il écoute et sent la ville de sens surdéveloppées.
Des cris déchirants et guturaux se font entendre au loin, peu après, en contre-bas, sur la place principale de Meridian il perçoit des déflagration d'énergie magique apparaissait ça et là.
16:43] Seikyo Lane bondit depuis le toit, se réceptionnant sur les pattes arrières et amortissant sa chute en s'inclinant vers le bas, jusqu'à s'appuyer sur ses pattes avant, presque applati sur le sol, puis se redresse sur ses quattre pattes, le museau en l'air, reniflant avidemment.
[16:43] Hafiz Latzo: *Quand Seikyo descend une mélodie infernale de tambours et de sytares sur aigüe commence*
[16:44] Seikyo Lane se recule d'un saut, les deux pattes sur ses oreilles, l'ouïe agressée par les sons trop stridents. "Argh !"
Des cranes enchassés dans des tiges d'or et courronés tournent autour de Hafiz, mais ça, le lupin ne peut le voir du fait de son handicape.
[16:44] Hafiz Latzo: *Seikyo peut entendre le bruits de petites choses qui gravitent en vrombrissant autour de Hafiz. Lui tremble comme une feuille, recroquevillé.
[16:46] Seikyo Lane serre les crocs pour s'aider à outrepasser la gêne, essayant de s'approcher à nouveau, poussé par le désir de savoir à quoi correspond cette formidable source d'énergie magique qu'il n'a jamais observé avant.
[16:46] Hafiz Latzo: *alors qu'il s'approche une forte odeur d'épices lui assaille les narines, mélée à la myrrhe et l'encens.
[16:46] Hafiz Latzo: *
[16:47] Hafiz Latzo grogne en proie à d'atroces douleurs
[16:48] Seikyo Lane tente de comprendre les signes sensoriels qu'il perçoit, puis hume l'air frénétiquemment, reconnaissant parmi toutes celles qui enbaument l'étrange manifestation, l'odeur d'Hafiz le conteur.
[16:49] Hafiz Latzo se relève et court subitement en marmomant "pitié.... non.... pas encore.... votch..... votch... NON"
[16:49] Seikyo Lane continue d'approcher lentement, sur ses gardes, essayant de déterminer si les choses qui gravitent dans les airs sont doués de pensée, et si elles sont néfastes.
[16:49] Hafiz Latzo: *aux odeurs des épices se mèlent celles de la chaire en décomposition et du cadavre brulé*
[16:49] Seikyo Lane: Ha... Hafiz ?
[16:50] Hafiz Latzo: Hrrrrrrrrrr
[16:51] Seikyo Lane s'approche plus encore, l'air inquiet, mais tout aussi méfiant.
[16:51] Seikyo Lane: Qu'est-ce qu'il se passe ?
[16:51] Seikyo Lane s'accroupit, et tend un bras vers l'homme pour le toucher, cherchant à savoir ce qui le torture.
[16:53] Hafiz Latzo: *l'odeur de cadavres est plus forte que jamais tandis que les cris de milles personnes agonisantes se font entendre. Quand Seikyo touche Hafiz, il peut se rendre compte que deux choses : l'une qu'il est tremblant comme une feuille, de deux qu'il est brulant autant qu'une flamme vive.
[16:54] Hafiz Latzo: *les petites choses vrombissantes semblent dérangées de se contact et viennent se jeter sur le loup garou en le cognant un peu partout.
[16:54] Hafiz Latzo respire fortement "QUI QUI? POURQUOI?"
[16:55] Seikyo Lane retrousse son museau à mesure que la puanteur monte, agressé maintenant dans son odorat, puis lâche un cri de surprise et de douleur en touchant l'homme, reculant paniqué sous les coups.
[16:56] Hafiz Latzo: *chaque crane de chacun des objets volants se met alors à rire, dément et à claquer des dents en une cacophonie atroce, ils reviennent tourbilloner autour d'Hafiz qui pleure maintenant.*
[16:57] Hafiz Latzo: *l'odeur du sang frais se fait sentir autour d'Hafiz, visiblement des veines éclatent à la surface de la peau et il transpire littéralement le liquide carmin*
[16:57] Seikyo Lane tente de mordre, hapant l'air autour de lui, brassant le vide de coups de griffe, essayant de viser les sources de mouvement, mais les crânes se montrent plus rapides, retournant tourmenter l'homme.
[16:57] Seikyo Lane: Mais quelle est cette magie... !
[17:00] Seikyo Lane grogne de rage, le souffle court, empli d'incompréhension, et maintenant excité dans ses instincts d'animalité par l'odeur du sang qui vient surmonter toutes les autres.
*A ce moment, les deux corps tombent au sol, inconscients, Hafiz se blesse à la tête dans sa chutte lourde sur le pavé et du sang commence à perler. Le lupin quand à lui, du fait de l'inconscience commence à se transformer progressivement*
[17:01] Hafiz Latzo: Seikyo n'est plus sur la place de Meridian, n'est plus face à Hafiz, toutes les illusions précédentes ont disparues sauf celles concernants les mourants. Il est sur un champs de bataille après la fin des hostilités, il fait nuit. Deux armées perses se sont affrontés, trois milles eunuques aux larges cimetteres sont agonisants ou morts tandis que des charniers enflammés font places ça et là. A eux ceux joignent 6000 perses dans le même état, démembrés. Au loin se font entendre les bruits d'une villes en pleure, et le vent est très fort, il gronde comme s'engouffrant dans les pans d'une montagne. Hafiz est absent.
[17:06] Seikyo Lane: Le lycan vascille, plongé dans la stupéfaction d'un virement brutal d'environnement. Il sent le sang, les cadavres, et le métal souillé, des odeurs qu'il ne connaît que trop bien. Les plaintes lointaines des pauvres survivants parviennent à ses oreilles, pourtant il ne comprend pas leur langue, comprenant ainsi qu'il est loin, très loin.
[17:08] Seikyo Lane tente de se calmer, hurle le nom du conteur, sentant la panique monter en lui. Il avance, trébuchant sur des morceaux de cadavres, luttant contre les souvenirs qui reviennent à son esprit. "HAFIZ !" Il lève la tête, respirant le vent trop fort, noyant trop d'odeurs.
[17:10] Hafiz Latzo: *le Lycan avance ainsi de trébuchants, tantôt il s'écroule sur un homme coupé en deux, tantôt sur une main tranchée, tantôt dans une marre de sang. Il est tout poisseux. A l'autre bout du champs de bataille un cris d'une voix reconnaissable se fait entendre "JE SUIS LAAAAA"
[17:13] Seikyo Lane s'arrête, au son de la voix d'Hafiz, le pelage collant et impregné de sang. Puis avance plus vite, courant désormais à quattre pattes, en direction du son. "CONTINUEZ A CRIER !"
[17:15] Hafiz Latzo le fait il ne cesse de crier pour que le loup garou le trouve. Mais alors qu'il est à mi chemin, un autre Hafiz apparait sur le côté sous les traits d'un homme coupé en deux au niveau du bas du tronc et dont les viscères maculent le sol allentour "Je ne lui ferai pas confiance si j'étais toi"
[17:18] Seikyo Lane stoppe son élan, tombant presque, sous la surprise d'entendre la voix d'Hafiz si proche tout à coup.
[17:18] Seikyo Lane: Mais quel est ce maléfice...
[17:19] Hafiz Latzo: *Seikyo entend maintenant les deux vois en même temps, l'autre continue de crier "VIIIEEEENS ICIIIIII" tandis que l'autre répond d'une voix calme "Il veut te tendre un piège"
[17:21] Seikyo Lane se bouche les oreilles, grognant, perdu et désorienté, puis reprend sa course frénétique vers la voix qui l'appelle, essayant de ne pas réfléchir et d'agir.
[17:22] Hafiz Latzo: *Seikyo se rapproche du cris tandis que maintenant touts les mourrants autoir de lui lui intiment l'ordre avec la voix d'Hafiz de ne pas y aller.
[17:24] Seikyo Lane tombe à genoux, se recroquevillant sur lui-même, hurlant "MAIS QUI ÊTES-VOUS ! QUI ÊTES VOUS ! QUELLE EST CETTE FOLIE DANS LAQUELLE VOUS M'AVEZ PLONGÉ !"
Pendant ce temps dans le monde réel, Seikyo a terminé sa transformation en forme humaine qui se répercute également sur le monde du rêve. Peu après Bridget et Awarn ont trouvés les deux corps et après que cette première ai lancé quelques sorts de soin, ils les transportent dans une chambre du sol pour qu'ils puissent s'y reposer. Mais rien n'y fait, les deux ne se réveillent pas.
[17:31] Hafiz Latzo: *En se recroquevillant, Seiko perds tout à coup pied comme si le sol venait de disparaitre et il tombe alors dans le vide. Il atterit lourdement dans une geole humide et puante de sang et d'excements humains. Plusieurs personnes sont attachés au mur, certains la languent coupés, d'autres les yeux crevés, d'autres encore les parties génitales coupées. A l'un des murs, Hafiz est attaché lui aussi mais intact : "Que.... qui êtes vous? Vous venez me chercher....? Vous.... Vous allez me tuer c'est ça?"
[17:34] Seikyo Lane s'arrête de hurler, levant ses mains lentement, reniflant les odeurs qui l'entourent, se demandant s'il est de retour aux Enfers, mais la voix d'Hafiz le persuade du contraire. Se tournant vers lui, la voix tremblante "Hafiz... C'est bien vous..? Ou suis-je en train de perdre complètement l'esprit..."
[17:37] Hafiz Latzo: "Je..... ayo..... c'est bien moi....... mais qui êtes vous? Vous.... êtes un de mes braves Ashishin venu me délivrer de cet affreux complot du Sultan Abdul?" *maintenant que tout est plus calme, du moins relativement, le loup garou peut constater qu'il a dans la pattes un trousseau de clef et qu'il parle arabe avec Hafiz même si il ne connait pas cette langue.*
[17:42] Seikyo Lane baisse la tête, ouvrant sa main et touchant de ses doigts le métal du trousseau de clefs, constatant par la même occasion, par la précision de son toucher, qu'il est désormais sous forme humaine. "Oh non..." Puis, relevant la tête vers Hafiz, reprenant progressivement son calme, lui répond "Non... Non je ne suis rien de tout ça. Il faut... Il faut nous sortir de là, il se passe quelque chose, j'ai perdu le contrôle sur mon corps, et vous..." Seikyo se tait, puis approche d'Hafiz en tendant le bras, les sens amoindris par sa nouvelle forme, jusqu'à le toucher, "Vous... êtes enchaîné..?"
[17:44] Hafiz Latzo: Ayo... je... je vous en pris.... délivrez moi... nous devons sortir d'ici au plus vite.... Mon exécution est prévue à l'aube...
[17:48] Seikyo Lane tâtonne, cherchant les poignets de l'homme, trouvant les anneaux vérouillés, cherchant frénétiquemment quelle est la clef qui leur correspond, fait tomber le trousseau sur le sol, puis s'accroupit vivement pour le chercher et le ramasser, les sens à vif, se relève et réitère ses tentatives, pressé par l'angoisse, l'étrangeté du lieu et de la situation.
[17:49] Seikyo Lane finit par trouver la clef, puis se dépêche d'ouvrir les autres anneaux qui retiennent l'homme.
[17:51] Hafiz Latzo une foi libéré tombe au sol et respire lourdement "je... heu... merci.... Seikyo..." progressivement son ton et son souffle s'apaisent, tandis qu'il se relève. "Mais au fait.... qu'est-ce que tu fais dans ma tête?"
[17:52] Seikyo Lane s'écarte, le trousseau toujours en main, secouant la tête. "Si seulement je le savais..."
[17:52] Hafiz Latzo désigne machinalement la porte "Et bien il faut sortir je crois...."
[17:53] Seikyo Lane acquiesce, murmurant "C'est vous qui avez les yeux pour nous guider hors d'ici."
[17:57] Hafiz Latzo: Oh heu oui... pardon, j'oubliais.... *il prend la clef et lui saisit le poignet de son autre main pour le guider jusqu'à la porte. Il se met alors à chercher la bonne clef puis ouvre finalement la porte. Là c'est un torrent de lumières que même Seikyo peut ressentir par la douce chaleur qu'elle dégage. Hafiz disparait. Quand la lumière réapparait, Seikyo se trouve dans une chambre cossue d'un style oriental chargée de teintures et de tapis persans, un feu dans la cheminée, des coussins un peu partout et l'odeur agréable de la myrhe et de l'encen. Sur un vaste lit circulaire entouré de teinture, Hafiz s'ébat, nu et tendrement une nubienne aux formes généreuses.*
[18:01] Seikyo Lane lève la tête, s'immobilisant, humant l'air, écoutant les sons qui l'entourent, mais percevant bien moins de choses sous cet aspect, passant une main sur son visage fatigué, "Où diable ai-je encore atterri... Ce délire n'aurait-il donc jamais de fin..?" Puis à l'écoute des bruits du couple, hausse la voix "QUI EST LÀ ?!"
[18:02] Hafiz Latzo sursaute et arrête son coït, il se redresse et dit "Non mais ça va pas d'entrer chez les gens comme ça? Est-ce que je pille votre mémoire moi? Ahhh je vais porter plainte moi mon bon monsieur!"

[18:03] Seikyo Lane reste stupéfait, figé sur place, puis laisse place à sa colère montant en lui "Faites-moi sortir de là !"
[18:04] Hafiz Latzo bredouille "Mais.. que.... voyons... heuu... calmez vous.... je.... je n'en ai pas envie!"
[18:07] Seikyo Lane gronde, son souffle s'accélérant à mesure que la rage monte en lui, ses mains se crispant, paumes ouvertes, et ses muscles se contractant. "JE VOUS TUERAI S'IL LE FAUT MAIS JE SORTIRAI DE VOTRE ESPRIT !" S'approchant, balayant violemment de ses mains les obstacles qui entravent sa marche vers la voix.
[18:13] Hafiz Latzo: *L'aveugle se prend dans un rideau de perles qui descend du plafond et s'empêtre tandis que Hafiz effrayé recule et que Majora remonte les draps pour couvrir sa nudité. "aaaaaaaaah un foooooou! D'accord! D'accord c'est bon, ne me tuez pas... je.... je vais vous faire sortir de là." *Aussitôt tout change à nouveau, Seikyo est nappé dans un nuage d'opium tandis que la vois d'Hafiz sortant de partout et nulle part à la foi prend la parole "Biiiiiiieeeeen, merci.... Tu as enfin réussis à le calmer. Je vais pouvoir vous réveiller, merci, je t'en dois une mais d'abord, j'ai quelques petits trucs à te dire". A force de l'entendre parler, Seikyo constate que la voix est légèrement plus aigüe et enfantine que celle d'Hafiz, plus joyeuse, malicieuse, pourtant c'est bien la sienne*
[18:16] Seikyo Lane est paralysé, à mi-chemin vers la perte totale de contrôle de son propre esprit, Muib huen, sa part animale, son loup, luttant pour prendre sa place et dévorer tout ce qui passerait à portée, pour leur propre survie à tous deux.
[18:17] Hafiz Latzo: "Calmes toooooi. Je t'assure que je vais vous sortir de là. C'est fini là whouhou tu as réussis à le calmer. Mais j'ai vraiment besoin que tu sois calme et que tu m'écoutes, c'est extrêmement important. Et je te garderais ici jusqu'à ce que tu le fasses."
[18:21] Seikyo Lane pousse un long hurlement, ni de douleur ni de rage, mais comme une incantation, puisant au plus profond de son énergie. Son souffle s'apaise, mais son corps reste crispé, la mâchoire serrée, sa respiration sifflante, cherchant la source de la voix d'un geste lent de la tête. "Alors dépêchez-vous, avant qu'il ne revienne." dit-il, sur un ton menaçant.
[18:22] Hafiz Latzo: "Bien, bien, je vais faire vite héhé. Bon alors pour résumer Hafiz a hmmmm un ancêtre djinn... Et cette partie djinn c'est moi! *son de quelqu'un qui tapperait dans ses mains comme un enfant content, mais encore une foi pas localisable géographiquement*
[18:22] Hafiz Latzo: Le truc c'est qu'il le sait pas...
[18:22] Hafiz Latzo: En fait, si il était pas venu dans ces terres jamais je ne me serais réveillé mais ici l'afflux de mana est teeeeeel hmmmmmm un régale
[18:22] Hafiz Latzo: Je dormais et pouf
[18:22] Hafiz Latzo: je me suis réveillé
[18:23] Seikyo Lane grogne "Qu'attendez-vous de moi. Pouquoi ne me laissez-vous pas partir."
[18:23] Hafiz Latzo: J'y viens, j'y viens attendez un peu joli monsieur!
[18:26] Hafiz Latzo: Bon, donc, le truc c'est qu'en fait, moi je suis lui et lui il est moi mais il n'en est encore une foi pas conscient. Ca va venir... faut lui laisser le temps. Jusqu'ici il a toujours utilisé mes pouvoirs un peu alléatoirement et dans des situations précises : "fort stress, peur, désir etc..." Il utilisait mes pouvoirs sans s'en rendre compte du tout et comme il n'est pas encore prêt à les découvrir et à les maitriser je fermais un verroux dans son esprit après ça et donc il ne s'en souvenait pas et cherchait tout les explications logiques pour retomber sur sa rationalité. Breeeeef. Là tout à l'heure y a eu un soucis. Alors qu'il utilisait mes pouvoirs sans s'en rendre compte la personne en face c'est montrée extrêmement résistante, j'ai du prendre le controle sur lui pour l'assister un peu. Mais y a eu un gros pépin....
[18:26] Hafiz Latzo: Un truc que j'avais pas prévu en fait....
[18:27] Hafiz Latzo: La personne au moment précis où j'étais entrain de prendre le contrôle de Hafiz, enfin de moi enfin bref vous avez compris....... quand je ne l'avais pas encore tout à fait et que l'autre moi, le "normal" commençait déjà le céder..... Et bien la cible des illusions a réussis à rompre le charme et à partir
[18:28] Hafiz Latzo: En fait ça a détraqué deux trois trucs dans Hafiz...... et il c'est retrouvé prisonnier de ses propres illusions, mélées de souvenirs, de fantasmes, de rêves....
[18:28] Seikyo Lane serre les poings, écoutant le récit.
[18:28] Hafiz Latzo: Et moi j'étais tout au fond je pouvaisplus rien fire, j'avais été projeté et enfermé.
[18:30] Seikyo Lane: Alors c'était vous dans la geôle.
[18:32] Hafiz Latzo: Donc il était comme ça entrain d'érrer, dément en lançan des illusions à droites à gauches - heuuu non, c'était lui mais c'est un peu compliqué, ça c'est un de ses souvenirs - et donc il est tombé sur vous..... Là j'ai réussis malgrès tout un tour de force car je suis doué - il faut bien l'admettre - comme j'ai sentis que vous étiez capable de l'aider, je vous ai fais entrer dans sa tête...... et en provoquant un nouveau sentiment très fort venu de l'extérieur et non de ses cauchemards comme vous l'avez fais en le menaçant de force.... Vous avez réussis!
[18:32] Hafiz Latzo: Je suis bien content d'avoir misé sur vous.
[18:33] Hafiz Latzo: Et donc on en arrive au point sensible....
[18:33] Hafiz Latzo: vous suivez toujours?
[18:33] Seikyo Lane acquiesce, lentement, visiblement toujours d'excécrable humeur.
[18:37] Hafiz Latzo: Bon, bien, quand vous vous reveillerez, si vous racontez ce que vous avez vu et ce qui c'est passé ça risquerait d'être grâve... Hafiz est pas encore prêt et je vais lui remettre son verrou et lui mettre la vérité en pleine face en cette période où il commence à soupçonner des trucs ça peut être dangereux. La dernière à l'avoir fait c'était Hellay et Hafiz a faillis en mourrir. De plus... une telle magie qui en ces terres est assez rare risquerait d'attirer la convoitise de certains et il risquerait de se retrouver comme sujet d'étude.... Aussi je vais vous demander platement à votre réveil de mentir et de prétendre que en vous vous balladant tout les deux sur les toits vous avez fais une mauvaise chute et vous êtes assomés et que les soins de Bridget ont soignés les os cassés. Et heuuu je ferai quelque chose pour vous en échange.
[18:38] Seikyo Lane plisse les yeux derrière son bandeau, pesant ses mots d'une voix grave. "Maintenant sortez-moi d'ici."
[18:43] Hafiz Latzo: Ayo heuuu mais attendez que je vous dise ce que je vous offre... heuu pour commencer, Hafiz au réveil ne saura pas pourquoi mais il voudra vous payer un bon repas et un verre. Bon ça c'est pas grand chose, j'en conviens, mais c'est cadeau de la maison, je vais lui mettre cette idée en tête. Ensuite, quand lui et moi ou plutôt moi et moi, le jour il sera prêt fusionnerons.... Et bien il se rappelera de toute cette aventure et saura qu'il vous doit la vie..... Et je vous assure qu'il a une dette de vie envers vous là, enfin nous, enfin moi. Et heu avant de vous laisser sortir j'ai juste besoin de votre parole d'honneur que vous ne parlerez pas et le marché sera conclu. Vous me la donnez?
[18:45] Seikyo Lane souffle fortemment par les narines, exaspéré. Puis ajoute, d'un ton décidé: "Hafiz n'en saura rien, vous avez ma parole."
[18:46] Hafiz Latzo: Youpi merci c'est parfait. Et je tiendrais ma parole quand à mes engagements *aussitôt tout devient plus réel, plus concrêt, les deux hommes se réveillent, s'extirpant doucement des limbes. Ils sont dans la chambre du Sol*

[18:46] Hafiz Latzo: Hmmmm.....
[18:46] Hafiz Latzo cligne des paupières
[18:46] Hafiz Latzo: Que.....
[18:47] Bridget DeCuir s approche doucement
[18:47] Hafiz Latzo remu et tourne la tête à droite et à gauche...
[18:48] Seikyo Lane reprend conscience, lentement, sentant sous ses doigts la douceur du tapis, les odeurs de la chambre qui l'entourent, et la voix d'Hafiz tout près.
[18:48] Bridget DeCuir se demande bien ce qu il a pu leur arriver pour qu ils soient dans l inconscience aussi longtemps: " oOoohhh hafiz?" * S approche de lui.*
[18:48] Hafiz Latzo: Je.... qu'es-ce que je fais là? *il articule avec difficulté comme à un réveil de gueule de bois. Il se retourne et voit Bridget au dessus de lui*
[18:49] Seikyo Lane se redresse brusquement, le souffle court, reculant jusqu'à percuter le mur brutalemment contre son dos, la tête douloureuse.
[18:49] Bridget DeCuir les regarde tour a tour, soulagée de les voir se reveiller doucement tour a tour et leur murmure: " Chuuuttt hafiz.. ne parlez pas trop... j ai du vous ramener avec un homme, vous etiez tous deux mal en point...
[18:50] Hafiz Latzo: Ahh je... ah bon? *tourne la tête vers Seikyo* Oh... sayid... j'étais avec vous?
[18:50] Bridget DeCuir sursaute devant le retablissement brusque de l nconnu: " Bous allez mieux? Ne craigniez rien, vous etes en securite...."
[18:51] Seikyo Lane se retourne, tâte le mur avec ses mains, comme pour s'assurer qu'il ne rêve plus. "Où suis-je ?" d'une voix paniquée.
[18:51] Bridget DeCuir fixe l homme: " ... Vous... Etes chez moi...; Sir.... Au SOL.... "
[18:52] Bridget DeCuir: Que s est il passé?
[18:52] Hafiz Latzo se redresse, carressant le tapis mollement, puis se mettant sur ses genoux et enfin debout, il vascille un peu. "Heuu je me souviens pas"
[18:52] Bridget DeCuir: Mon dieu... mais votre ami... hafiz.... ne voit il rien?
[18:53] Seikyo Lane longe le mur, une main contre, l'autre en face de lui, cherchant le lieu d'où sont entrés les pas et la voix de la femme.
[18:53] Bridget DeCuir se retourne vers hafiz, prenant le temps de l examiner, lui caresse la joue: " Vous etes sur que ca va?"
[18:54] Hafiz Latzo: Heuuu noon mais.... il est aveugle..... calmez vous Seikyo je vous en pris.... Bridget est une amie
[18:54] Hafiz Latzo: Je ne sais pas ce qui est arrivé.... mais vous êtes en lieu sûr
[18:54] Seikyo Lane touche la porte, la palpe de ses mains, puis sort, répétant "Il faut que je sorte. Il faut que je sorte. Il faut que je sorte."
[18:55] Hafiz Latzo: Je... mais nous allons tenter de nous souvenir ensemble autour d'un bon plat?
[18:55] Hafiz Latzo: Qu'en dites vous?
[18:55] Bridget DeCuir: Je crois qu il est preferable qu il sorte s il le demande...
[18:55] Hafiz Latzo: C'est moi qui régale...
[18:55] Hafiz Latzo avance très doucement vers l'aveugle pour ne pas le brusquer
[18:56] Seikyo Lane fait pas attention à ce qu'il entend, continuant de longer le mur en le touchant, cherchant un courant d'air ou un quelconque indice indiquant une sortie, mal à l'aise après son aventure, et dans un lieu qui lui est inconnu.
[18:57] Hafiz Latzo: Je.... venez, je vais vous aider à aller prendre l'air... *avance vers lui et lui attrape doucement le coude de la main pour le guider*
[18:57] Bridget DeCuir le voyant apeuré decide de prendre les devants et marche d un pas rapide pour guider l homme avant qu il ne se fracasse le crane sur les escalliers
[18:57] Bridget DeCuir: Je passe devant, il ne tombera pas.
[18:57] Seikyo Lane sursaute au contact physique, levant un poing comme pour frapper, le souffle court, puis baisse le bras, écoutant les voix.
[18:58] Bridget DeCuir: Suivez moi.
[18:58] Hafiz Latzo: Venez allons....
[18:58] Hafiz Latzo le guide avec Bridget devant
[18:58] Bridget DeCuir: Hafiz... Vous voyez bien qu il est choqué....
[18:58] Seikyo Lane suit, sans un mot, l'esprit en ébullition.
[18:58] Hafiz Latzo: Ayo... je je crois
[18:59] Bridget DeCuir: Tournez sur votre gauche et mettez votre mains sur mon epaule, nous allons descendre.
[18:59] Hafiz Latzo le lache et le laisse se faire guider par Bridget
[19:00] Bridget DeCuir: Peut etre qu un verre d eau... vous ferait du bien ... Sir?
[19:00] Hafiz Latzo: Vous êtes sûr que vous ne voulez rien manger? Moi j'ai une de ses faims....
[19:00] Seikyo Lane secoue frénétiquement la tête "Non... Non, non je dois... Je dois prendre l'air..."
[19:00] Hafiz Latzo: Bien...
[19:01] Hafiz Latzo: heu... d'accord
[19:01] Hafiz Latzo: Mais ne désirez vous pas savoir ce qui nous est arrivé? je n'y comprend plus rien
[19:01] Bridget DeCuir: Bien suivez moi... Accrochez vous je vous guide a l exterieur, vous pourrez vous assoir sur les marches...
[19:01] Seikyo Lane renifle, sentant de l'air extérieur s'engoufrant dans la pièce.
[19:01] Bridget DeCuir: Hafiz... laissez le donc retprendre ses esprits...
[19:02] Hafiz Latzo lance des regards hagards à droites à gauches, visiblement lui aussi est complètement en état de choc
[19:02] Bridget DeCuir: Regardez vous vous meme.... Allez vous assoir...
[19:02] Hafiz Latzo: Heu je oui
[19:02] Hafiz Latzo: Vous avez raison
[19:02] Hafiz Latzo: Je suis bête
[19:02] Bridget DeCuir: Je m occuppe de vous de suite.
[19:02] Bridget DeCuir: Venez sir, faites attention a la marche.
[19:03] Bridget DeCuir: Voila vous y etes... Asseyez vous avant de reprendre votre chemin...
[19:03] Bridget DeCuir: Avez vous besoin de quelque chose?* Dit elle d une voix douce, a peine audible.
[19:04] Hafiz Latzo se passe la main sur le crane et grimace en y trouvant une ouvelle blessure tout juste cicatrisé.
[19:05] Hafiz Latzo va lui même s'asseoir sur les marches
[19:05] Seikyo Lane la suit jusqu'à l'extérieur, la lâchant pour poser ses mains sur ses tempes, la tête encore douloureuse et l'esprit reprenant confiance en ses sens. Puis il baisse la tête vers la femme, lui répondant d'un faible voix. "Non... Je... Je dois partir."
Et ainsi le loup sous forme humaine s'en va t'il vers de nouvelles aventures